Si Twitter est très pratique pour effectuer des recherches sur des termes, des hahstags, ou des comptes il est également très pratique pour spammer en masse. L’API est assez ouverte pour accéder aux messages et effectuer des recherche assez poussées en quelques lignes de code, cela permet ainsi à de nombreux comptes de pratiquer l’automatisation à outrance.
C’est ce que ces nouveaux gurus appellent « Growth hacking » ou comment « pirater la croissance » en l’occurrence de son compte Twitter. Il est en effet assez facile de passer pour l’expert d’un sujet (au moins pour des sujets bien documentés sur le web et sur Twitter, au hasard le marketing ou la Frenchtech) en automatisant simplement quelques actions. Comme par exemple suivre et retweeter quelques comptes bien ciblés pour produire artificiellement du contenu sur le sujet et gagner en visibilité.
Mais ces comptes à priori véritables devenus des robots polluent chaque jour un peu plus nos timeline. La preuve en quelques cas pratiques…